From Hell
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 Principe du Partenariat.

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AuteurMessage
Comte Palladio
Créateur des villes historiques
Comte Palladio


Masculin Nombre de messages : 40
Localisation : Londres.
Emploi/loisirs : Créateur des villes historiques.
Date d'inscription : 15/02/2008

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MessageSujet: Principe du Partenariat.   Principe du Partenariat. Icon_minitimeMar 12 Aoû - 0:39

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Forum tiré de l'oeuvre [u]Le Quadrille des assassins[/u] de Hervé Jubert.
"Simplifié à mort", dixit la Fondatrice.

[b]Contexte[/b]

[/center]


  Le monde est plus vieux de quelques années mais il n'a apparemment pas changé. En apparence tout du moins.

Nous avons pris conscience de notre impact sur l'environnement, développant les énergies propres et réduisant l'utilisation des substances polluantes et autres hydrocarbures. Les voitures à essence par exemple, sont donc devenues des objets de collection pour hommes fortunés.

Mais il est clair que le principal changement de notre société ne se trouve pas là. Il consiste en la création du moyen le plus certain de contrôler la société, le monde entier, par un commun accord des Nations Unies. L'invention des Traceurs, l'instauration des miliciens et du Fichier.

Dans une petite boîte métallique, des grains de poussière dansent un ballet magnétique. Des triangles se transforment en étoiles avant d'exploser pour se recomposer en figures plus complexes qui s'annulent les unes les autres. On approche un pinceau en poils de martre, un tourbillon se forme et enrobe les poils du pinceau en tournoyant grâce à quelque miracle électrostatique. Et on en badigeonne l'empreinte du criminel. De mignons petits Traceurs... Des petits détectives.

Le Fichier comporte les empreintes génétiques du Monde entier. De chaque individu. Et les Traceurs se font ainsi un plaisir de retrouver le propriétaire de l'empreinte trouvée sur le lieu d'un crime. Et une fois cela fait, ce sont les miliciens qui sont prévenus et qui s'occupent de l'arrestation du coupable. Un contrôle sans faille sur toute la population, surveillée, contrôlée, constamment. Et ainsi le crime d'antan a été éradiqué. Mort. A présent il faut faire de brillantes études pour échapper à cette technologie à laquelle personne n'échappe.

Personne. Sauf les villes historiques. Des villes construites de toutes pièces par le Comte Palladio. Héritées du théâtre, de la faillite des expériences virtuelles et de quelques idées fulgurantes appartenant à d'autres temps. Des visionnaires ont rêvé ces endroits, des architectes, des romanciers, des dessinateurs. Le comte les a réalisés. Et il les avait rentabilisés. Des villes partiellement reconstruites, regroupant les principaux lieux importants, vivant à des époques différentes. Et dans ces villes, de vrais habitants, de vrais travailleurs, de vrais locataires, qui payent un loyer et permettent en partie d'entretenir la gigantesque machinerie que la ville cache dans ses entrailles. Et qui accepte de vivre selon les règles de siècles antérieurs, sans électricité, sans tous les moyens modernes. Mais l'essentiel des recettes vient du tourisme.

Car les villes historiques accueillent non seulement ceux qui veulent simplement faire du tourisme mais surtout ceux qui veulent échapper au contrôle des Traceurs et vivre la vie débridée qu'ils ne peuvent vivre ailleurs. Qui sait quels délits et pêchés ne sont pas punis dans l'enceinte de ces villes historiques...

[b]Synopsis[/b]

[b]Ville Historique de [color=#0000ff]Londres[/color].[/b]
Mary s'arrêta au milieu de Westminster Bridge. Le froid figeait sa respiration devant son visage et elle enfouit ses mains gantées dans les plis de sa robe d'époque. Les piétons allaient et venaient autour d'elle, le dos courbé. Les bruits étaient étouffés par le smog qui recouvrait la ville historique de Londres. Elle ne discernait même plus l'abbaye de Westminster. Mary releva son col et y nicha son nez rougi par le froid. Elle reprit sa marche vers le pont d'un pas décidé.

 A mesure qu'elle avançait vers les docks, les silhouettes se faisaient aussi rares qu'imprécises. Les réverbères s'allumèrent alors qu'elle atteignait l'autre rive et le silence enveloppa la jeune femme. Elle s'aperçut alors qu'elle était seule, au pied d'un réverbère, dans le halo tremblotant de la chandelle qui luttait contre l'obscurité. Une ombre surgit alors de la brume et la fit sursauter en se plantant devant elle. Un Bobby. Il la salua, laissa glisser son regard sur elle, ce qui n'était pas digne d'un vrai gentleman. Mais Mary était pressée. Le Docteur l'attendait et il s'agissait de ne pas manquer ce rendez-vous. Elle longea les docks pour rejoindre le Black Dog, une des tavernes les plus sordides de ce monde d'en bas qui, selon les guides, devait se visiter seul pour être apprécié à sa juste valeur. Mary Graham était résolue à danser avec le Mal ce soir-là. A l'embrasser à pleine bouche, à s'offrir à lui.

 Elle avait dansé et bu à en faire tanguer le sol sous ses pieds, obligée de s'asseoir. Les couples ne semblaient pas se rendre compte qu'ils n'étaient pas tous seuls, les autres cherchaient un binôme...

[color=red][b]    - Miss, vous m'attendiez ?[/b][/color]

    Le cœur de Mary fit un bond. Elle tourna lentement la tête. Un élégant se tenait devant sa table.

[color=red][b]    -Nous avons rendez-vous, je crois.[/b][/color]

 Mary était à cran, les nerfs à vif. Elle aurait voulu s'offrir immédiatement à l'inconnu, maintenant, vite ! Le Docteur avait compris cela car il contourna la table et lui offrit son bras. Mary se leva, rassembla les plis de sa jupe dans une main et se laissa guider jusqu'à la sortie de la taverne. Personne ne remarqua leur départ et il quittèrent la chaleur étouffante du Black Dog pour retrouver la fraîcheur de la nuit Londonienne. Elle remarqua le gilet du Docteur qui avait un aspect étrangement massif. Il lui faisait penser à une armure.

[color=red][b]    - Je connais un garni pas très loin...[/b][/color], commença le Docteur.

 Mary n'en pouvait plus. Un jardin à l'abandon s'ouvrait sur leur droite, un muret les protègerait des regards. Elle tira la Docteur dans l'obscurité, se plaqua contre le mur en le tenant fermement par les avant-bras. Elle bascula la tête en arrière, offrant son cou.

 Le Docteur comprit qu'il avait carte blanche et il commença à déboutonner son corsage sans la quitter des yeux. Il glissa une main sous le tissu imprégné de sueur, palpa la trame du soutien-gorge. Il le fit descendre et un sein jaillit à l'air vif. L'homme, tout en palpant la chair, fit descendre encore sa main. Mary essayait de suivre son mouvement en s'accroupissant mais il la plaqua plus fort contre le mur.

[color=red][b]    - Gentille fille, ordonna-t-il.[/b][/color]

 Le cœur de Mary se mit à battre plus vite. La main dépassa le nombril, continua sa course vers le pubis, le fouilla tout doucement d'abord, puis de plus en plus vite. Mary s'abandonna aux gestes de l'homme. Son ventre était entièrement découvert. Elle était prête. Elle conservait une dernière part de conscience pour faire tomber sa jupe et s'offrir à lui. Le Docteur maintenait ses deux bras au-dessus de sa tête d'une seule main. Mary voulut se dégager mais il raffermit sa prise. Excitée par le jeu, elle le regarda franchement et son sang se glaça.
 Les yeux de l'homme n'exprimaient que le vide, la mort. Elle voulu crier mais il la lâcha et la frappa violemment au menton. Sa tête cogna contre le mur. Un peu assommée, elle se laissa glisser sur la terre humide.

[color=green][b]    - Enfant de putain[/b][/color], maugré-t-elle.[color=green][b] Pour qui vous prenez-vous ?[/b][/color]

 Elle essaya de se relever, du sang coulait sur son menton. Le Docteur avait fait un pas en arrière et la contemplait, avec la même absence d'intérêt. Il dénouait les lacets qui couraient des deux côtés de son gilet. un pan tomba sur ses cuisses et découvrit une collection de lames brillantes retenues par des courroies de cuir. L'homme en choisit une en prenant son temps. Un scalpel effilé. Mary refusait d'y croire.

[b][color=green]    - Je rêve...[/color][/b] Murmura-t-elle, ramassée sur elle-même.

 Elle regarda le passage sur la rue, en trois pas elle y était. L'homme essuyait sa lame contre son tablier. Elle plongea vers la rue. Il l'attrapa au vol et la ramena par les cheveux jusqu'au coin sombre. Elle commença à hurler. Il plaqua une main sur sa bouche et la souleva, un genou planté dans l'entrecuisse. Il prit appui contre le mur et posa le scalpel contre son ventre.

[color=red][b]    - Annie Chapman, vous êtes malade, très malade. Et nous allons vous guérir.[/b][/color]

[color=green][b]    - Mary... Graham[/b][/color], hoqueta-t-elle, la gorge nouée par l'horreur. [b][color=green]Mon nom est... Mary Graham...[/color][/b]

 Elle pouvait suivre le parcours de la lame glacée sur sa peau. Son cœur battait à tout rompre. Elle avait envie de vomir, paralysée, au bord de l'évanouissement. Maintenant, le sang partait à l'assaut de ses pupilles. Elle sentit les larmes couler sur ses joues.

[b][color=red]    - La terreur[/color][/b], murmura son assassin en pesant doucement sur la lame...
 
  [b][color=#0000ff]BALE[/color] - Bureau des Affaires Criminelles. [/b]
Le Major Gruber jeta les photos sous le nez de ses inspecteurs. Des clichés de la Criminelle, avec les repères caractéristiques. Une masse informe, un pan de mur... En fait c'était une femme jeune et assez jolie, assise par terre, le dos contre le mur. Son ventre avait été vidé avec soin. Ses viscères reposaient entre ses jambes. Elle avait les mains posées dessus comme s'il s'agissait d'un trésor. De nombreux clichés montraient le même corps en plans plus ou moins rapprochés. On n'avait pas vu une telle sauvagerie depuis des années et pourtant, la presse n'en avait pas parlé. Parce qu'elle obtenait ses tuyaux des miliciens la plupart du temps.

[color=darkblue][b]- Mary Graham, trente-deux ans. Retrouvée hier matin dans ce triste état. On m'a confié l'affaire il y a à peine deux heures. [/b][/color]

Les traceurs avaient amélioré la Sécurité au point de remettre en question l'existence même du Bureau des affaires criminelles. Les assassins étaient quatre fois sur cinq appréhendés sur-le-champ par les miliciens reliés aux traceurx et au Fichier. La Criminelle aurait dû être mise sur le coup immédiatement. Le meurtrier aurait déjà dû être repéré par un traceur.

[color=darkblue][b]- Cette femme a été assassinée dans une ville historique. Elles échappent à notre juridiction. Et ce crime aurait pu rester caché si l'un des habitants n'avait pas eu vent de cette histoire et prévenu le ministère. Ça s'est produit à Londres, le jour des Docks, à la fin du XIXème siècle. [/b][/color]

Le Major leur tendit à chacun un dossier comportant les photos et les preuves retrouvées sur les lieux, c'est à dire, rien du tout.

[color=darkblue][b]- Vous allez me retrouver le boucher qui a fait ça. Vous allez le traquer selon les bonnes vieilles méthodes d'investigation. Rendez-vous à l'embarcadère du Nord, le Pélican pour Londres vous y attend. C'est bien compris ?[/b][/color]

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